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La femme aux fleurs de papier de Donato Carrisi

La femme aux fleurs de papier de Donato Carrisi est un récit à tiroir/suspense/historique paru en 2012 chez Longanesi en Italie puis traduit par Anaïs Bokobza et publié en 2014 chez les éditions Calmann-Lévy. Il est paru en format broché, à 16,50€ , en format poche à 6 ,30€, 213 pages et en format numérique à 6,49€. l'ISBN :2253093173.

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Synopsis:

La nuit du 14 au 15 avril 1912, le Titanic sombre dans sa cabine de première classe, revêt un smoking et remonte sur le pont. Au lieu de chercher à sauver sa peau, il allume un cigare et attend la mort. En 1916, dans les tranchées du mont Fumo, quatre ans jour pour jour après le naufrage du Titanic, un soldat italien est fait prisonnier. A moins qu'il ne révèle son nom et son grade, il sera fusillé le lendemain. Jacob Roumann, médecin autrichien, n'a qu'une nuit pour le faire parler. Mais le prisonnier veut diriger l'interrogatoire. Sa vie, décrète-t-il, tient à trois questions : «Qui est Guzman ? Qui suis-je ? Et qui était l'homme qui fumait sur le Titanic ?» Dans ce huis clos se noue alors entre les deux ennemis une alliance étrange autour d'un mystère qui a traversé le temps et su défier la mort. Ce récit à tiroirs est une ode au plaisir de raconter.

 

Mon avis  :

Carrisi étant l'un de mes auteurs favori, j'ai voulu lire ce livre car il était différant des autres. L'écriture de l'auteur est toujours aussi fluide, agréable à lire, j'ai encore beaucoup aimé cette plume. Les personnages ne sont pas très construit, on ne sais pas grand chose d'eux au final, ni leurs passé, ni leurs caractère qui en fait est définis plus par leurs actes. Mais mal grès cela, je me suis quand même attaché à certain d'entre eux, par leurs histoire, mentalités et la façon dont ils racontent. Guzman en particulier, qui m'a fascinais et Madame ly de la laverie. Pour l'histoire, c'est plusieurs insérer l'une dans l'autre mais on ne se pers pas en lisant, quand on passe d'une narration à l'autre, même avec les commentaires du soldat, c'est fluide. La première histoire nous donne une petite touche de suspense, de tension, je me suis vraiment demander jusqu'au bout qui était le soldat. La deuxième, m'a tenu en halène tout du long, il n'y a pas de mystère mais je me suis prise dans l'histoire de ce conteur, avec ses péripéties, ça mentalité simple mais intéressante. C'est Guzman que l'on suis, sa vie palpitante, ses rencontre et Carrissi à choisi de le faire fumé, d'en faire un fil conducteur de l'histoire et de relier les deux parties du récit avec la cigarette et un cigare. La fin est à la hauteur du livre, même si elle n'est pas surprenante, je l'ai adoré bien que je n'ai pas compris comment Roumann a découvert l'identité du soldat. C'est un livre que je recommande même si il diffère vraiment du style habituel de Carrisi. Ma note  : 17,5 (5/5/3,5/4)

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