Au-delà de la couverture...
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Le livre des crâne de Robert Silverberg.
Le livre de crânes à fait partie de ma PAL pour le Week and à 1000. Ce livre est écrit par Robert Silverberg, publié en 1972 et en 1975 pour la traduction française par Guy Aradia. Publier par Livre de poche à 6,50€ et 352 pages (mais il y à eu de nombreuses rééditions), ISBN :9782253072966. Robert Silverberg, né le 15 janvier 1935 à New York, est un romancier et nouvelliste américain particulièrement prolifique, connu sous de très nombreux pseudonymes il reçu quatre fois le prix Hugo, cinq fois le prix Nebula et neuf fois le prix Locus.
Synopsis :
Ils sont quatre.
Quatre étudiants qui ont décidé de s'assurer l’immortalité physique, fût-ce au prix d'une terrible ascèse.
Ils sont partis à la recherche du monastère de la fraternité des crânes dont ils ont découvert l’existence par accident dans le Livre.
Mais pour atteindre l’immortalité, il faut se découvrir.
Mon avis :
Premièrement je déteste la couverture, c'est vraiment moche.
Deuxièmement, je vais revenir à des choses plus sérieuses. Donc j'ai emprunté ce livre à la médiathèque, il m'a bien plus au début notamment parce qu’il est rythmé par le changement de point de vue à chaque chapitres, l'auteur tourne entre les quatre amis . Il a choisi de nous faire vivre l'histoire à travers les yeux du personnage, on ne sais que ce que le narrateur vois, vie ou pense et c'est vraiment bien amené, on est réellement immergé dans la vie des personnages. Sur ces derniers mon avis est mitigé, en fait il y en a deux que j'aime bien et deux autres non. Eli, qui est plus ou moins le personnage central, me plais le moins, il est trop changeant, à un moment il va être optimiste puis son chapitre suivant c’est tout le contraire, il est pessimiste au possible ; malheureusement ses chapitre durent très longtemps, enfin plus que les autres mais ça paraît très long. Timothy, c'est pas que je l'aime pas mais je l’apprécie pas non plus, il donne plutôt l'impression d'être là parce qu'il fallait un quatrième personnage, il est plus utile qu'autre chose, je ne m'y suis pas vraiment attacher. Ned, le gay, qui est vraiment sympa, on apprend à le connaître et à l’apprécier de plus en plus au cour de l'histoire ; il est attachant, ses réflexions et sa façon de pensé sont asses par son cynisme mais aussi très « vrais ». Olivier, il est juste trop cool, c’est le « plouc » de la bande parce qu'il vient de la campagne mais en faite au cour des chapitre, on se rend comte qu'il est bien au dessus des autres, enfin ses pensées sont si juste (pour moi) et il est quand même terre à terre. On voit qu'il en veut, qu'il est un battant mais à la fin de l'histoire il devient encor plus attachant. En tout cas Silverberg décrit et pose le décor si facilement et avec beaucoup d'adresse, on arrive très bien à imaginé l'histoire. Mais il y a quand même des longueurs, parfois on part trop dans les pensées des narrateurs, on avance pas. L'histoire est découpées en deux, le voyage qui est très long même un peut trop, on a envie de passé à la deuxième partie, le monastère mais en faite quand on y est, et bien personnellement j'ai été un peut dessus. On nous en dis télément dessu que je m'attendais à un truc de malade, mais enfait pas du tout, l'histoire devient plate et d'un ennui pour au final arrivé à un choix qui entraine nos "héros" à un débat limite bidon.
La fin est bien, même si c'est pas celle que j'attendais, où plutôt à moitié. Mais bon je comptais les pages qu'il me rester à lire au bout d'un moment...
Pour la note : 11,5 (4/2/3,5/2)*
voir bric à brac